L'OPERA
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Nous attendons un minimum de 10 personnes par spectacles pour vous garantir 50% de remises sur vos places!
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L'ombre de Venceslao12 octobre à 20h, 4 euros, Opéra
Les personnages de la pièce gravitent autour de Venceslao, chef de famille pauvre mais fier, sorte de Don Quichotte entouré de ses proches et de ses animaux familiers. Tandis que China, la fille, part pour Buenos-Aires, l’errance du patriarche le conduira jusqu’aux mythiques chutes d’Iguazu.
Il y a beaucoup d’esprit baroque et picaresque, de grotesque et de nostalgie à la fois dans cette évocation de la très humide Mésopotamie argentine, cadre des scènes rurales, en contraste avec celles qui se déroulent à Buenos-Aires. Et puisqu’il sera question de tango, les bandonéons seront de la partie, bien entendu, mais pour mieux participer aux couleurs de la palette toujours extrêmement riche de Martin Matalon.
Tosca- Révisez vos classiques30 Novembre à 20h, 4 euros, Opéra
C’est l’un des plus populaires parmi les opéras de Puccini. Un rôle-titre flamboyant, des situations tragiques sur un arrière plan historique, une musique passionnée. Cette Tosca, composée et créée en 1900, impressionne et bouleverse comme au premier jour.
L'Italiana in Algeri5 Décembre à 20h, 11 euros, OpéraL’Italienne qui débarque à Alger pour retrouver son fiancé n’est pas une frêle jeune femme. Elle a du tempérament et de la détermination. Rossini nous livre d’elle un portrait flatteur en la dotant d’une tessiture très grave et d’airs tonitruants. La mécanique musicale du compositeur est alors à son apogée. Le finale du premier acte est ainsi l’une des scènes les plus drôles de toute l’histoire de l’opéra. Les personnages semblent perdre la raison et enchaînent onomatopées drolatiques et cris d’animaux.
Cantate de Noël14 Décembre, 20h, Opéra
Les cantates de Jean-Sébastien Bach sont un océan de musique. Ces joyaux constituent en outre l’ensemble le plus révélateur de la spiritualité du compositeur. Les cantates de Noël, écrites pour les dimanches de l’avent et le temps de la Nativité, ont en commun un esprit de joie qui jette la belle lumière de l’espoir sur la ferveur et le recueillement que doit inspirer au fidèle le mystère de cette naissance divine.
Les Amants Magnifiques26 Janvier à 20h, 11 euros, Opéra
On récite et l’on joue, on chante et l’on danse dans ces comédies-ballets dont l’intrigue, les amours contrariées du général Sostrate et de la princesse Eriphile, n’est que prétexte à intermèdes baignant dans l’atmosphère des contes de fées. Les égarements du coeur et de l’esprit suggérés par un Molière galant, fin et sensible, sont mis en abyme par les tableaux qui s’enchaînent, plus surprenants les uns que les autres – jeux marins, ballets de statues, jeux de mimes ou pastorale champêtre – pour lesquels Lully imagine une partition riche, novatrice et d’une intense poésie.
Le Roi Arthur- Révisez vos classiques7 Février à 20h, 4 euros, Opéra
Une plongée dans l’univers des chevaliers de la table ronde revisitée par le plus grand compositeur anglais du XVIIe siècle.
Voix baroques et instruments anciens au service des récits du cycle arthurien et d’une musique profondément expressive.
Fidelio15 Mars à 20h, 13 euros, Opéra
La liberté de l’individu et celle des peuples, la fraternité, l’amour et le bonheur humains sont des valeurs que sa musique instrumentale suggère mais que Fidelio, tout comme la Neuvième Symphonie, illustre et proclame explicitement. Leonore est prête à tout pour retrouver son époux Florestan, qui a disparu du jour au lendemain. Persuadée que ce combattant de la liberté a été enfermé pour ses convictions politiques, elle s’est travestie en homme et fait engager comme assistante du gardien en chef de la prison. Réussira-t-elle à sauver Florestan avant que l’infâme gouverneur Don Pizarro ne mette à exécution ses menaces ?
Le Trouvère- Révisez vos classiques28 Mars à 20h, 4 euros, Opéra
Avec La Traviata et Rigoletto, c’est le troisième grand ouvrage de la maturité de Verdi. Sur un livret follement romantique, les personnages, hantés par la mort et soulevés par l’amour se débattent contre le destin à pleine-voix, sans répit.
Le Toréador6 Avril à 20h, 13 euros, Opéra
Coraline, l’héroïne d’Adolphe Adam, est une ancienne chanteuse des théâtres parisiens. C’est pour nous raconter son histoire vraie qu’elle revient sur les planches. Elle regrette bien de s’être rangée et d’avoir épousé Don Belflor, le Toréador évoqué par le titre de l’ouvrage. Car c’est un toréador à la retraite, dont le peu d’empressement et de charme font regretter à Coraline son ancien bel ami, le charmant flûtiste Tracolin, lequel réapparaît fort opportunément.
Carmen-Révisez vos classiques25 Avril à 18h, 4 euros, Opéra
À un mois des représentations de Carmen, l’occasion de réviser cette partition truffée d’airs célèbres et d’autres qui le sont peut-être moins. L’amour est enfant de Bohème, mais aussi d’Andalousie, et comme Carmen il n’a jamais connu de loi.
Carmen30 Mai à 20h, 11 euros, Opéra
Si la bourgeoisie, dont les critiques musicaux de l’époque se firent les portes-plume, dénonça violemment cet ouvrage sulfureux, le public ne s’y était pas trompé. En moins de deux saisons, Carmen s’était imposé comme un chef-d’oeuvre promis à l’immortalité. Le personnage de Carmen est celui d’une femme libre, dont le destin tragique n’est pas une défaite mais l’accomplissement même de cette liberté. Face à la mort, cette fière Andalouse ne reniera rien de sa sensualité pleinement assumée, de sa joie de vivre et d’un courage qui fait pâlir tous les hommes qui croisent son chemin. Cette héroïne, dont la silhouette n’était qu’esquissée dans la nouvelle de Prosper Mérimée développée par Georges Bizet, semble avoir littéralement envoûté le compositeur, comme si elle lui dictait ces pages musicales magnifiquement inspirées – et orchestrées ! - que nous connaissons tous par coeur, depuis la Habanera jusqu’à l’air du Toréador, en passant par la Chanson gitane.
VISITE DE L'OPÉRA11 Octobre à 9h30, Opéra
Les personnages de la pièce gravitent autour de Venceslao, chef de famille pauvre mais fier, sorte de Don Quichotte entouré de ses proches et de ses animaux familiers. Tandis que China, la fille, part pour Buenos-Aires, l’errance du patriarche le conduira jusqu’aux mythiques chutes d’Iguazu.
Il y a beaucoup d’esprit baroque et picaresque, de grotesque et de nostalgie à la fois dans cette évocation de la très humide Mésopotamie argentine, cadre des scènes rurales, en contraste avec celles qui se déroulent à Buenos-Aires. Et puisqu’il sera question de tango, les bandonéons seront de la partie, bien entendu, mais pour mieux participer aux couleurs de la palette toujours extrêmement riche de Martin Matalon.
Tosca- Révisez vos classiques30 Novembre à 20h, 4 euros, Opéra
C’est l’un des plus populaires parmi les opéras de Puccini. Un rôle-titre flamboyant, des situations tragiques sur un arrière plan historique, une musique passionnée. Cette Tosca, composée et créée en 1900, impressionne et bouleverse comme au premier jour.
L'Italiana in Algeri5 Décembre à 20h, 11 euros, OpéraL’Italienne qui débarque à Alger pour retrouver son fiancé n’est pas une frêle jeune femme. Elle a du tempérament et de la détermination. Rossini nous livre d’elle un portrait flatteur en la dotant d’une tessiture très grave et d’airs tonitruants. La mécanique musicale du compositeur est alors à son apogée. Le finale du premier acte est ainsi l’une des scènes les plus drôles de toute l’histoire de l’opéra. Les personnages semblent perdre la raison et enchaînent onomatopées drolatiques et cris d’animaux.
Cantate de Noël14 Décembre, 20h, Opéra
Les cantates de Jean-Sébastien Bach sont un océan de musique. Ces joyaux constituent en outre l’ensemble le plus révélateur de la spiritualité du compositeur. Les cantates de Noël, écrites pour les dimanches de l’avent et le temps de la Nativité, ont en commun un esprit de joie qui jette la belle lumière de l’espoir sur la ferveur et le recueillement que doit inspirer au fidèle le mystère de cette naissance divine.
Les Amants Magnifiques26 Janvier à 20h, 11 euros, Opéra
On récite et l’on joue, on chante et l’on danse dans ces comédies-ballets dont l’intrigue, les amours contrariées du général Sostrate et de la princesse Eriphile, n’est que prétexte à intermèdes baignant dans l’atmosphère des contes de fées. Les égarements du coeur et de l’esprit suggérés par un Molière galant, fin et sensible, sont mis en abyme par les tableaux qui s’enchaînent, plus surprenants les uns que les autres – jeux marins, ballets de statues, jeux de mimes ou pastorale champêtre – pour lesquels Lully imagine une partition riche, novatrice et d’une intense poésie.
Le Roi Arthur- Révisez vos classiques7 Février à 20h, 4 euros, Opéra
Une plongée dans l’univers des chevaliers de la table ronde revisitée par le plus grand compositeur anglais du XVIIe siècle.
Voix baroques et instruments anciens au service des récits du cycle arthurien et d’une musique profondément expressive.
Fidelio15 Mars à 20h, 13 euros, Opéra
La liberté de l’individu et celle des peuples, la fraternité, l’amour et le bonheur humains sont des valeurs que sa musique instrumentale suggère mais que Fidelio, tout comme la Neuvième Symphonie, illustre et proclame explicitement. Leonore est prête à tout pour retrouver son époux Florestan, qui a disparu du jour au lendemain. Persuadée que ce combattant de la liberté a été enfermé pour ses convictions politiques, elle s’est travestie en homme et fait engager comme assistante du gardien en chef de la prison. Réussira-t-elle à sauver Florestan avant que l’infâme gouverneur Don Pizarro ne mette à exécution ses menaces ?
Le Trouvère- Révisez vos classiques28 Mars à 20h, 4 euros, Opéra
Avec La Traviata et Rigoletto, c’est le troisième grand ouvrage de la maturité de Verdi. Sur un livret follement romantique, les personnages, hantés par la mort et soulevés par l’amour se débattent contre le destin à pleine-voix, sans répit.
Le Toréador6 Avril à 20h, 13 euros, Opéra
Coraline, l’héroïne d’Adolphe Adam, est une ancienne chanteuse des théâtres parisiens. C’est pour nous raconter son histoire vraie qu’elle revient sur les planches. Elle regrette bien de s’être rangée et d’avoir épousé Don Belflor, le Toréador évoqué par le titre de l’ouvrage. Car c’est un toréador à la retraite, dont le peu d’empressement et de charme font regretter à Coraline son ancien bel ami, le charmant flûtiste Tracolin, lequel réapparaît fort opportunément.
Carmen-Révisez vos classiques25 Avril à 18h, 4 euros, Opéra
À un mois des représentations de Carmen, l’occasion de réviser cette partition truffée d’airs célèbres et d’autres qui le sont peut-être moins. L’amour est enfant de Bohème, mais aussi d’Andalousie, et comme Carmen il n’a jamais connu de loi.
Carmen30 Mai à 20h, 11 euros, Opéra
Si la bourgeoisie, dont les critiques musicaux de l’époque se firent les portes-plume, dénonça violemment cet ouvrage sulfureux, le public ne s’y était pas trompé. En moins de deux saisons, Carmen s’était imposé comme un chef-d’oeuvre promis à l’immortalité. Le personnage de Carmen est celui d’une femme libre, dont le destin tragique n’est pas une défaite mais l’accomplissement même de cette liberté. Face à la mort, cette fière Andalouse ne reniera rien de sa sensualité pleinement assumée, de sa joie de vivre et d’un courage qui fait pâlir tous les hommes qui croisent son chemin. Cette héroïne, dont la silhouette n’était qu’esquissée dans la nouvelle de Prosper Mérimée développée par Georges Bizet, semble avoir littéralement envoûté le compositeur, comme si elle lui dictait ces pages musicales magnifiquement inspirées – et orchestrées ! - que nous connaissons tous par coeur, depuis la Habanera jusqu’à l’air du Toréador, en passant par la Chanson gitane.
VISITE DE L'OPÉRA11 Octobre à 9h30, Opéra